Vous vous imaginez que je sois juste éphémère,

Et même virtuelle ,

On ne m'aperçois guère ,

Mais je reste moi-même ,

Oui , oui ma vie est un mystère ,

Et qui se renouvelle sans cesse,

Je monte sur le devant de la scène ,

Je regarde et je guette ,

Mais je ne vois l'ombre de moi-même ,

C'est déjà essentiel ,

Et puis de toute façon je ne cherche ,

Même pas la moindre lumière ,

Je vis sous le réverbère ,

Mais c'est une merveille ,

Car il m'éclaire ,

Mais je suis toujours en alerte ,

Je me déplace et je reste très discrète ,

Et souvent j'erre ,

C'est ma vie et elle sera éternelle ,

Et je suis bien tranquille ,

Parfois je vois une compagnie ,

Mais elle file vite ,

Et elle sait que j'habite ici ,

C'est mon minuscule logis ,

Parfois on veut me détruire ,

Et même me nuire,

Mais je résiste ,

Même aux intempéries ,

C'est facile ,

Venez me rendre visite…………..

 

 

 

C'est purement qu'un œil il voit,

Peut-être un peu de brume ?

Qui s'échappe au son de ta voix,

Mais si je prends la plume,

C'est pour que vous puissiez lire,

Ah! je sais c'est le début !

Mais de il peut s'agir ?

De la fortune,

Qui glisse entre vos doigts ,

Je sais j'oublie les majuscules,

Mais pas les minuscules,

Oui ça devient une habitude,

C'est un peu ridicule,

Mais puisque je peux voir ce qui se passe,

Je ne vais pas tourner la page,

Certainement que je ne suis pas une bombe,

Mais je suis à l'ombre,

Mais j'ai comme une impression,

Que je vous mets la pression !

Mais non ce n'est qu'une illusion,

Et je ne sais même pas à quoi vous faites allusion,

Je suis le vent de la passion,

Et celui qui va balayer votre raison,

Car vous vous ennuyez à la maison,

Mon œil voit comme une petite lueur,

C'est certainement une visite enfin seconde ,

Mais il éprouve une certaine frayeur,

Il aime pas quand on lui fait peur,

Ça lui donne mal au cœur,

Vous ressentez comme une oppression,

Il faut chasser l'air de vos poumons,

Mais il fait chaud vous allez fondre ,

Ah! il y a de la pluie qui tombe,

Il fait un peu sombre ?

Il arrive ce rayon,

Mais il ne faut pas se plaindre de cette chaleur,

C'est de saison,

Canicule c'est son nom !

Et son prénom pénombre !

Ah! oui il ne faut pas confondre avec humeur,

Car elle change chaque seconde ,

Mais si vous insistez il faut le dire à votre entourage,

Oui il ne faut pas hésiter pour venir sur cette page,

Car oui il y a un compteur,

Et a la fin de la journée je compte ,

Il ne peut pas avoir des erreurs,

Car ce filtre marche à toutes les heures !

Je sens comme une odeur ,

Un retour de plage,

Qui se déverse sur cette page,

Attention ça tâche ,

Allez vous revenez dans un quart d'heure,

Je vais tondre le gazon,

Vous en avez horreur ,

Bon alors prenez votre savon ,

Il parait qu'il fait fureur ,

Dans cette région car c'est du beurre …………..

 

 

 

 

J'ai vraiment du temps à penser,

Car si on veut m'épier ,

Il y a une choses que vous devais pas oublier,

Je suis filtrée à un point qui est démesurée ,

Mais comme je suis d'une grande discrétion,

Je peux facilement en tirer des conclusions ,

Mais vous êtes le légère progression,

C'est tout au moins mon impression,

Mais je ne vais pas recevoir de leçon,

C'est à moi de prendre les décisions,

Mais il n'est pas du question ,

Que cela devienne une obsession ,

Je vais vous faire une simple déclaration,

Pour jouer à ce petit jeu là il faut savoir faire attention,

C'est certain il faut prendre des précautions,

Mais vous pensez à tous ces problèmes oui alors vous avez raison,

Vous avez opte pour la bonne direction ,

Mais il peut y avoir des failles surtout sans réponses,

Mais ce jeu faut-il en faire un témoignage,

Certes je partage c'est une révélation,

Mais vous pensez à améliorer votre quotidien,

Qui me semble bien loin,

Même  si vous vous cachez dans un coin,

Afin de ne pas envahir la page ,

Mais vous éprouvez une certaine rage ,

Et vous perdez peu à peu votre courage,

Le seul avantage c'est l'héritage,

Du terrain de ce voisin,

Mais ça va devenir un fameux dilemme demain,

On ne peut se laisser surprendre par quelqu'un ………..

 

 

 

 

Ça c'est un rendez vous inopiné,

Moi qui ne le croyais manquer,

Et je pensais à un secret ,

Je reste très discret ,

Et à la fois distrait ,

Ils sont seules à leur table,

Et en plus ils se regardent,

Lui il demande la carte,

Et la regarde pour y faire son choix,

C'est tout un art pour rentrer dans la matière,

C'est une préliminaire,

Car cette assiette est chaude ,

Il le savoure avec délicatesse,

Quant à sa maitresse ,

Elle va admettre que c'est un délice,

Cette bouchée fut la première,

Et plat principal spécialité de la maison,

Lui dit le garçon,

La fille d'un air étonnée lui dit ah! bon ,

Lui il se rapproche et dit ?

Vous êtes gourmande ,

Elle lui répond c'est alléchant,

Lui est impatient,

De s'asseoir en lui montrant,

En deux ou trois mouvements,

Puis arrive le dessert ,

Un régal de miel sur un lit de caramel,

Elle lui dit c'est suprême ,

Un délice et à la fois un caprice ,

Lui il voulait un digestif,

Et elle un café,

Il va falloir trancher,

Ça va être dure pour les réconforter ,

Des goûts qui sont mélangés ,

Il faut voter et pas de conseiller ,

Merci la soirée est bien entamée,

Il l'invite pour danser,

Elle ne répond pas de suite mais nous

pouvons y aller ……………...

 

 

 

 

 

La suite de cette histoire de famille,

Je vais en écrire un livre ,

Depuis que cette idée me poursuit ,

Je pense que je suis libre ,

De l'écrire ,

Faut-il avoir des idées ,

De ce côté j'en ai ,

De l'audace là je sais être efficace ,

Il faut juste me croire ,

C'est belle est bien une histoire vécue ,

Là je pense qu'ils vont être déçus ,

Une famille n'est pas pour un jours,

Mais seulement toujours ,

Et ce n'est pas facile à vivre,

Surtout quand on vit en campagne,

Cette vie de paysanne,

Bien sûr que nous vivons,

Avec les produits que nous récoltons,

Mais pas d'excès nous ne le pouvons,

Car treize la table ronde,

C'est bien plus qu'un champion ,

D'ailleurs c'était la devise,

Qui peut en en avoir de plus ?

Il y a eu une certaine réussite ,

Je pense de me souvenir ,

D'une famille de quinze ,

Mais là je trouve un peu excessive ,

Car après il faut penser aux études ,

Mais là aussi ce n'est guère une certitude,

Car bien souvent à quatorze ans on travaille,

Pour nourrir le restant de la famille ,

Mais vous êtes libre de penser,

Ce que vous voulez ,

Mais en tous les cas c'est bien vrai,

Le anniversaire on ne connaissait guère,

Noël c'était une misère,

Mais on ne pouvait pas dire que c'était la guerre ,

Nous mangions tous les jours ce qu'i avait dans l'assiette ,

Il ne fallait pas laisser la monder miette ,

Mais il fallait se taire ,

Ça d respect il en avait,

Le martinet parfois il valsait,

Mais souvent sur les mêmes ,

Nous étions bien dressés,

Même de trop par rapport à l'heure actuelle,

Et alors la politesse ,

Était toujours présente pas de maladresse,

Il fallait bien l'admettre ,

Mais où est -il passé cette période correcte,

Où on se respecte ,

Après il ne faut pas s'étonner de la délinquance,

Les faits sont bien présents,

Et l'éducation les parents,

Que font-ils en absence ,

Et le notes trafiquées ,

Aucune voyance que de la transparence ,

Remettons un peu plus d'éducation au devant,

Et vous verrez que le monde change ………...